La colline Ecbatan de Hamadan, avec sa ville souterraine en son cœur, montre au monde sa vieille histoire de trois mille ans. La colline d’Ecbatan est une ancienne colline vieille de 3000 ans ; il remonte à la période médiane, qui abritait une ville souterraine en son cœur. La superficie de cette colline est d’environ 30 hectares ; il se trouve dans la partie nord de la partie ancienne de Hamedan, au bout de la rue Ekbatan.
Ecbatan
Ecbatan signifie lieu de rassemblement et on l’a enregistré dans des sources anciennes comme Ecbatan, Amdaneh et Hamedan. On a aussi enregistré ce site antique en 1932 sous le numéro 28 de la liste des monuments nationaux d’Iran. Selon les références historiques et les perceptions initiales des archéologues et des chercheurs, ce site antique a été introduit comme un ancien Ecbatan ; il comprend aussi des œuvres de la période historique, en particulier les périodes médiane, achéménide et parthe.
Œuvres d’architecture découvertes à Ecbatan
Des équipes archéologiques expérimentées ont commencé les fouilles et des études archéologiques depuis 1983 et puis à la fin de 1985, ils ont réalisé un total de 14 chapitres de fouille. Le produit de fouilles scientifiques est donc l’émergence d’une ville ancienne et étendue des villes à damiers (période parthe). Les constructions de cette ville ancienne sont des passages à distances égales et parallèles les uns aux autres, dans la distance entre lesquels on a construit des unités de construction complètement similaires et symétriques. En plus des installations d’approvisionnement en eau, ce complexe unique dispose d’une clôture en briques d’un diamètre d’environ 10 mètres, qui comporte d’énormes tours à certains intervalles.
La structure principale de la ville antique est faite d’argile et brute et par parties de brique. Le résultat des fouilles du Conseil archéologique iranien à Ecbatan est l’existence de 20 ateliers de fouilles très grands et étendus que la protection, l’entretien, la consolidation et la consolidation des artefacts découverts est l’une des activités les plus importantes du site et nécessite une année continue crédit.
Ecbatan
Musée d’Ecbatan
Le musée Ecbatan a été construit pour l’école dans les années 1931. Ce musée a un étage d’un ancien bâtiment d’une superficie de 600 mètres carrés ; il comprend aussi le hall principal et deux couloirs ; ils exposent de divers objets historiques liés aux périodes préhistoriques et islamiques dans le centre. Le site antique est prêt à être visité par les touristes. La restauration et l’entretien de différentes parties du musée, ainsi que la création de nouveaux espaces de part et d’autre de l’entrée du musée afin d’exposer les nombreux objets de la base et de créer de nouvelles attractions touristiques font partie des mesures essentielles de la base, qui nécessite un crédit important.
Église de Saint-Grégoire Stephen
Le complexe d’Ecbatane comprend deux très belles églises, l’école arménienne, la maison du prêtre, le bain arménien et le cimetière appartenant aux chrétiens arméniens de Hamedan, qui ont émigré à Hamedan en 1605 ; alors ils ont construit des bâtiments culturels. On a rénové l’église après que l’Organisation du patrimoine culturel l’a acquis ; alors à ce jour, plus de 90% des travaux de rénovation du complexe s’achève. On a converti une partie de ce complexe en centre de formation scientifique appliquée en changeant son utilisation ; on a enseigné les domaines liés à l’Organisation du patrimoine culturel dans ce centre.
Église de Saint-Grégoire Stephen est inscrit sur la liste des monuments nationaux d’Iran. Cette collection, vieille de trois mille ans, est actuellement l’une des œuvres les plus attrayantes de Hamedan ; elle se visite alors par plus de 150 000 personnes chaque année.
Objets précieux découverts à Ecbatan
Le Musée de l’Iran antique a acheté la plaque d’argent, d’un diamètre de 20 cm et appartenant à la période achéménide, en 1934 et puis il a renvoyé en Iran. Un bol doré en forme de bol avec des saillies à l’extérieur ; Les motifs dessus partent du bord du bol et se répètent jusqu’au milieu du renflement. Entre les crêtes et le bord du bol, une rangée de cunéiformes s’écrit en trois langues : babylonien, persan ancien et élamite ; sa traduction persane est «Darius le Grand». Ce précieux vaisseau, en plus d’être un joyau ancien, est l’une des œuvres d’art uniques et un vestige de notre passé. Malheureusement, ce bol se conserve dans la collection Gorgian à New York.
Un pot en argent qui appartient à la période Xerxès et mesure environ 12 cm de haut. Le trait se grave sur ce cunéiforme et il ne reste qu’une partie des inscriptions. Une autre partie de cette écriture se laisse sur la partie cassée du pot ; mais on n’a pas non plus retrouvé. Ce pot se trouvaitégalement à l’extérieur des frontières de l’Iran mais on l’a retourné au Musée de l’Iran ancien après l’achat. La plaque d’argent appartient à Achéménide, Ardashir I, qui se trouve au musée Metropolitan à New York.
Ecbatan
Des autres objets découverts
Sur le bord intérieur de la plaque, on a écrit en cunéiforme : “Ardeshir Shah le Grand, fils de Xerxès, Xerxès était le vieux roi achéménide Darius Shah qui fabriqua cette coupe d’argent pour son palais royal.” La base d’une colonne de pierre qui appartient à Ardashir II de la dynastie achéménide. Cette base de pilier se conserve également au Département de la Culture jusqu’en 1937 ; après cela, on l’a donne au Musée de l’Iran ancien. La base de la colonne est carrée et la taille de ses côtés est de 93 cm.
Le pilier est en pierre ; dans la marge supérieure du carré inférieur de la colonne se trouve une inscription en inscription cunéiforme avec ce texte ; «Le pilier de pierre du palais Apadana d’Ardashir le Grand, fils de Darius Shah de la dynastie achéménide. ” Cette colonne se trouve sur la colline de Ecbatan jusqu’en 1936. On a retrouve une autre colonne de pierre à Ecbatan ; elle appartient également à l’époque d’Ardashir II de la dynastie achéménide. Cette colonne, comme de nombreux monuments historiques précieux de notre pays, se trouve en dehors des frontières de l’Iran. Sur cette colonne, une inscription en sept lignes s’écrit avec le thème suivant : j’ai construit ce palais grâce à Ormazd, Vénus et Mehr. « Puissent-ils me protéger de tous les maux, et ce que j’ai fait est à l’abri des morsures et des dommages.
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